se dit d une serie passant sur le petit ecran
MCETV vous dit tout de A à Z ! Attention, cet article est susceptible de contenir des SPOILERS ! Une saison 18 très attendue par les fans de Grey’s Anatomy. Le 30 septembre dernier, Grey’s Anatomy a fait son grand retour sur le petit écran. Une bonne nouvelle pour les téléspectateurs qui attendaient avec impatience l’arrivée de cette nouvelle aventure. Et pour
RépondreSe dit d'une série passant sur le petit écran; Se dit d'une série passant sur le petit écran. Répondre: Televisee. D'autres questions. Ancienne région du Sud-Ouest comprenant la Gironde. Ote l'eau du linge et de la salade une fois rincée. Petits morceaux festifs de papier ou de plastique. Quand l'Eglise désigne quelqu'un comme un Saint . Ramener quelqu'un dans son
Pourcela, vous ne disposez que des définitions de chaque mot. Certaines lettres peuvent parfois être présentes pour le mot à deviner. Sur Astuces-Jeux, nous vous proposons de découvrir la solution complète de Codycross. Voici le mot à trouver pour la définition "Se dit d'une série passant sur le petit écran" (groupe 7 – grille n°2) :
Dansun essai passionnant, la journaliste Pauline Le Gall scrute la représentation des amitiés féminines sur le grand et le petit écran.
Solutionsde mots croisés et mots fléchés pour SE DIT D'UNE SERIE PASSANT SUR LE PETIT ECRAN - 20 solutions de 2 à 13 lettres Le caractère joker est * mais vous pouvez utiliser la "barre d'espace"
nonton my girlfriend is alien sub indo dramaqu. 1. "Une nounou d'enfer" 1993-1999CBSPourquoi on l’aime ? Pour les moments de fou rire et les looks kitsch de Fran Fine. La scène marquante toutes les fois où Niles, le majordome, et se sont phare des Nineties, Une Nounou d'Enfer met en scène Fran Fine, une trentenaire au franc-parler venue du Queens, en pleine recherche de travail, qui décide de faire du porte à porte au cœur de Manhattan pour vendre des produits de beauté. C'est alors qu'elle rencontre Maxwell Sheffield, un richissime producteur de comédies musicales, qui lui propose de devenir la nurse de ses trois enfants, Margaret, Brighton et Grace. Son hairdo choucrouté, ses tenues hautes en couleurs et son rire cinglant ont fait de Fran Fine la nounou la plus cool de l'Upper East Side. On se souvient notamment du fameux tailleur brique façon trompe l'œil portée par la nounou, du combo pull col roulé/robe fittée ultra-kitsch signature de l'époque, mais aussi des teddy strassés de mille couleurs portés par grand-mère "Sex and the City" 1998-2004HBOPourquoi on l’aime ? Pour les leçons de vie que Carrie, Miranda, Samantha et Charlotte nous ont offertes, sur le sexe, l’amitié, le féminisme, les relations amoureuses et bien sûr la mode. La scène marquante quand Carrie revient de Paris où elle devait vivre, et retrouve sa bande de copines dans le dernier épisode de la a fasciné et inspiré des milliers de fans à travers le monde au cours des années 2000. Inspiré d'un recueil de chroniques écrites par la journaliste new-yorkaise Candace Bushnell, Sex and the City brosse le portrait de quatre célibataires trentenaires Carrie Bradshaw, journaliste disséquant les relations homme-femme*, Charlotte York*, une galeriste un peu naïve en quête d'amour, Miranda Hobbes, avocate indépendante et cynique, et Samantha Jones, attaché de presse croqueuse d'hommes. Avec un humour décomplexé, les quatre personnages n’hésitent pas à relater sans langue de bois leurs expériences avec les hommes, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Si il y a une leçon à retenir les femmes aussi ont une vie sexuelle et peuvent le faire savoir. Sex and the City est devenu, en quelques années, un véritable manuel du sexe de plusieurs "Buffy contre les Vampires" 1997-2003The WB$Pourquoi on l’aime ? Pour les sujets traités souvent profonds féminisme, addiction, homosexualité… mis en lumière sous forme de métaphores. L'épisode marquant lorsque Buffy se sacrifie pour sauver sa soeur en sautant dans le vide pour refermer le portail magique qui aurait détruit le 10 mars 1997, Buffy voyait le jour sur les écrans TV aux Etats-Unis. Il aura fallu plus d’un an pour que la série créée par Joss Whedon traverse l’Atlantique pour investir la France. Ce show est tiré d’un film imaginé en 1992, dont le succès reste discutable. A chaque génération, une Tueuse issue d'une longue lignée d'Elues doit lutter contre les forces du mal soit une horde de vampires et de démons en tout genre. Dans les Nineties, cette élue est une jeune lycéenne qui s’appelle Buffy. Avec son esprit résolument teenage, ce show ponctué de références pop culture pointues a réussi à se hisser au rang de série culte et continue d'inspirer bon nombre de "Friends" 1994-2004NBCPourquoi on l'aime ? Pour ses personnages attanchants, drôles et les blagues incessantes. La scène marquante dans le premier épisode, quand Monica, Ross, Phoebe, Rachel, Chandler et Joey se rencontrent après que Rachel ait quitté son dix ans, Friends s'est hissé au rang de série emblématique et de plus rentable du petit écran. Elle suit au quotidien six amis et colocataires - Monica, Rachel, Phoebe, Ross, Chandler et Joey -, dont la particularité tient dans le célibat. Fun fact ? Plusieurs grands noms du cinéma encore méconnus du grand public ont fait plusieurs apparitions. En tête de file, Brad Pitt, David Arquette, Danny DeVito, Kristin Davis, Alec Baldwin, Dakota Fanning ou encore Winona Ryder, actuellement à l'affiche de Stranger Things. On aime aussi les looks des années 90 si particuliers et emblématiques des personnages, à la fois ludiques et "Melrose Place" 1992-1999FOXPourquoi on l’aime ? Pour la beauté des lieux et les iconiques crêpages de chignons. La scène marquante lorsque Matt enlève de force la perruque de 1992, deux ans après le succès de Beverly Hills 90210, Aaron Spelling décide d’imaginer une nouvelle série dérivée. Melrose Place brosse le portrait d’un groupe de trentenaires dans une petite résidence de huit appartements avec piscine. Comme dans toutes bonnes séries américaines des Nineties, un personnage machiavélique fait son apparition. Dans Melrose Place, il s’agit d’Amanda Woodward Burns, une jeune femme dotée d’une personnalité froide et d’un caractère irascible, qui devient très vite le personnage féminin le plus détesté de la série. Sa romance avec le docteur Peter Burns alimentera en grande partie le show, tout comme les couples culte, à l’image de Billy Campbell et Alison Parker. Trahison, vengeance, mariage, divorce, adultères… Melrose Place ou le soap-opéra le plus ultime des années "Ally McBeal" 1997-2002FOXPourquoi on l’aime ? Pour son humour décapant et complètement absurde, et les gags visuels à chaque épisode. La scène marquante la scène de danse d'Ally sur fond de Barry la fin des années 90, Ally McBeal a fait les beaux jours de M6. Cette série prend place dans un cabinet d’avocats huppé situé à Boston, où plusieurs personnages loufoques évoluent. En tête de liste ? Ally, une trentenaire libre et névrosée. Ce qui est avant-gardiste et plaisant, c’est la façon dont sont traités les sujets chaque épisode relate une affaire au tribunal, en mettant en corrélation la vie sentimentale ultra complexe des membres du cabinet. Ally McBeal joue la carte de l’absurde en surfant sur des sujets psychologiquement profonds. Le show a rapidement été qualifié de féministe. La raison ? L’héroïne se débat contre les problèmes auxquels sont confrontés les femmes dans la trentaine et n’hésite pas à les partager avec le spectateur. On se souvient aussi de la musique du générique imaginée par l’artiste américaine Vonda Shepard, qui résonne encore en "Dawson" 1998-2003The WB$Pourquoi on l’aime ? Pour ses personnages attachants et son esprit teenage si singulier. La scène marquante la mort de Jennifer lors du dernier épisode de la par Kevin Williamson en 1998, Dawson fête ses 20 ans cette année. Tout comme Beverly Hills à la même époque, cette série raconte l'histoire d'adolescents. Mais à l’inverse de 90210, elle met en scène des jeunes issus d’un milieu modeste. Toute la génération des années 90 a passé des soirées entières à regarder les aventures de la petite bande de Capeside. On se souvient de moments mémorables, à commencer par les histoires tumultueuses qu'a vécu le triangle amoureux Dawson/Joey/Pacey ou lorsque Jack décide de faire son coming "Le Prince de Bel-Air" 1990-1996NBCPourquoi on l’aime ? Pour l'humour et les looks rétro hauts en couleurs des personnages. La scène marquante on se souvient tous de la fameuse danse de Carlton, le cousin de la série qui a révélée Will Smith au grand public. Dans Le Prince de Bel-Air, il joue un adolescent modeste de 17 ans qui quitte Philadelphie pour s’installer chez son oncle et sa tante dans une belle maison à Los Angeles. En découle une déférlante de scènes hilarantes et comiques, qui mettent en lumière le conflit des classes. Qui dit quartier aisé, dit personnalités au coin de la rue. Au fil des épisodes, des guest de renom font leur apparition. Parmi eux, Oprah Winfrey, Tom Jones, Dr Dre, Boyz II Men, Queen Latifah et B. B. King.
Dans un contexte où l'offre en matière de séries n'a jamais été aussi pléthorique, le Veilleur d'écran[s] se propose d'être votre guide à travers les saisons. Qu'il s'agisse d'une ancienne série aujourd'hui culte, d'un carton récent ou d'un show plus anonyme, cette nouvelle chronique vous aidera à ne perdre votre temps qu'en bonne compagnie. Quand on me demande une recommandation de série sans me donner de critères spécifiques au préalable, Peaky Blinders est très souvent l'un des premiers titres à franchir mes lèvres. La série de la BBC demeure en effet, six ans après son lancement, l'une des plus solides et qualitatives qu'il est possible de visionner. C'est pourquoi j'ai décidé de vous en parler aujourd'hui... et aussi parce qu'on ne refuse rien aux Peaky f*cking Blinders. Accompagnez la lecture de cet article avec la musique de la série J'avais vraiment envie de commencer cette chronique par des remerciements... et comme je fais ce que je veux "Merci à Steven Knight je peux t'appeler Steven ? Stev' ?, d'avoir créé Peaky Blinders, une série aussi jouissive qu'exemplaire à tous les niveaux, et par la même occasion d'avoir incité les autres créateurs de séries à essayer de toucher du doigt l'excellence de votre oeuvre." Est-ce que j'en fais trop ? Certainement. Passons toutefois aux de racketPour les rares d'entre vous qui n'auraient jamais entendu parlé de cette série anglaise, Peaky Blinders s'intéresse durant 5 saisons la dernière vient tout juste d'arriver... coïncidence ? Je ne crois pas de 6 épisodes, au gang éponyme qui a sévi dans les environs de Birmingham, notamment en 1919, année où commence l'action de la première saison. Trafics et contrebande en tout genre, racket, trucages, violence... tout semblait alors bon pour s'enrichir et asseoir sa domination dans la région. L'intrigue suit avant tout la famille d'origine tzigane à la tête de cette organisation, les Shelby, et son leader charismatique et ambitieux, Thomas Shelby porté à l'écran par l'incroyable Cillian Murphy dont le niveau d'implication dépasse les 9 000 %. Les gipsy sont roisCe drame à la fois historique, familial et un peu policier sans surprise, durant leur montée en puissance, les Peaky Blinders vont devoir échapper aux autorités qu'ils ne peuvent pas toujours corrompre profite d'une richesse scénaristique remarquable. Cette dernière se nourrit d'abord du terreau fertile des années post Première Guerre mondiale, logiquement sombres, angoissées et déprimées, mais aussi ostentatoires pour peu que vous soyez dans les bons quartiers les costumes, les véhicules ou encore la décoration de l'époque respirent l'argent et le goût, mais aussi grâce à ses personnages mémorables. Toute la famille Shelby, ses alliés et ses adversaires rôles qui peuvent d'ailleurs s'inverser d'un épisode à l'autre sont impeccablement incarnés et sont servis par d'excellents dialogues, prononcés avec des accents exceptionnels - regardez cette série en VO par pitié -, ponctués de verre de whiskey et de cigarettes qui renforcent le côté “serious business” et “classe” du show. Les personnages de la série et leurs relations tantôt conflictuelles tantôt fusionnelles en font véritablement le sel et leur évolution au fil des saisons, leurs loyautés et motivations changeantes sont passionnantes à suivre. Impossible également de ne pas citer sans en dire trop pour autant que quelques guests de qualité font leur apparition dans certaines saisons aux côtés d'un casting régulier déjà exemplaire, à la fois marqué et classe à Dallas Birmingham Visuellement et esthétiquement parlant ensuite, seule une certaine The Handmaid's Tale peut se targuer aujourd'hui de proposer des effets de lumières et de fumées, une photographie et une mise en scène aussi bluffante que celle de Peaky Blinders dans le moindre de ses épisodes. On pourrait, cela dit, citer aussi Taboo, créée par... Steven Knight notez que sa prochaine série, See, semble d'ailleurs à en croire la bande-annonce prendre le même chemin de l'excellence visuelle. Les jeux d'ombres et de lumières de Peaky Blinders renvoient intelligemment aux éléments bicéphales décrits plus hauts, à savoir l'époque sombre où l'on essaye d'avoir des chaussures qui brillent malgré la boue et le sang, et des héros/antihéros à la morale pas toujours nette et dont le capital sympathie du côté du spectateur varie énormément. La réalisation est tout simplement brillante et la forme vient à merveille servir le propos du fond. On pourra peut-être reprocher à Peaky Blinders d'avoir un peu trop conscience avec le temps de son statut et de son style inimitable et ainsi d'abuser de temps en temps d'effets de style ralentis un peu abusifs pour se la raconter, personnages qui fument en permanence pour se donner de la contenance.... Mais à moins de binger l'intégralité de la série d'un coup et de risquer de faire une légère overdose, ce n'est pas un défaut suffisamment important pour bouder son plaisir devant l'écran. D'autant qu'il faut également parler de la musique. Celle-ci est volontairement anachronique, souvent rock mais pas que et percutante, et toujours parfaitement adaptée à ce qu'il se passe à l'écran et autre point fort du show. C'est bien simple, j'ai perdu le compte des moments où j'ai dégainé Shazam pour reconnaître un morceau et le mettre dans ma playlist. Si des noms comme Radiohead, Royal Blood, The White Stripes, Black Strobe, Black Sabath ou encore The Black Keys beaucoup de choses en Black dites moi vous parlent, vous savez ce qu'il vous reste à faire. Putain d'Anglais » Cette comparaison n'aura peut-être pas de sens ou pourra même énerver certaines personnes, mais Peaky Blinders est ce qui se rapproche le plus d'une expérience cinématographique sur le petit écran. Tout y respire la qualité artisanale et l'envie de marquer le spectateur au fer rouge, tandis que le format court des saisons est idéal pour ne pas s'ennuyer, mais suffisamment déployer le scénario et ses personnages. La volonté de toutes les personnes impliquées de faire la meilleure oeuvre possible est évidente dans le moindre plan, la moindre séquence, la moindre ligne de dialogue. Putain d'Anglais. Cette série est pour vous si - Vous voulez en prendre plein les yeux et les oreilles - Vous aimez les personnages charismatiques et/ou les anti héros - La période entre deux guerres en Angleterre vous attireCette série n'est pas pour vous si - Vous n'aimez pas les séries centrées sur des antihéros ou des gangs - Vous êtes allergique à la violence physique comme psychologique - Vous essayez d'arrêter de fumer et/ou de boire Si la série vient à l'origine de BBC Two outre Atlantique, chez nous c'est Netflix et Arte, mais avec un peu moins de souplesse qui a eu la bonne idée de récupérer les droits afin de rapidement proposer chaque saison quelques jours après la fin de la diffusion originale. Les 5 saisons actuelles y sont donc disponibles et l'on espère que ce sera toujours le cas pour les prochaines. Puisque oui, il devrait y avoir d'autres saisons. Notez pour finir que les fans de la série étant nombreux et productif, la BBC leur a offert un espace d'exposition virtuel une page web donc ou vous pouvez trouver ce genre de choses utilisé dans le logo de la chronique du jour Cracks par Harry Ward
Bonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la réponse à cette étape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons préparé les solutions de CodyCross Se dit d’une série passant sur le petit écran. Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisés, les mots sont à trouver à partir de leurs définitions. Le jeu contient plusieurs niveaux difficiles qui nécessitent une bonne connaissance générale des thèmes politique, littérature, mathématiques, sciences, histoire et diverses autres catégories de culture générale. Nous avons trouvé les réponses à ce niveau et les partageons avec vous afin que vous puissiez continuer votre progression dans le jeu sans difficulté. Si vous cherchez des réponses, alors vous êtes dans le bon sujet. Le jeu est divisé en plusieurs mondes, groupes de puzzles et des grilles, la solution est proposée dans l’ordre d’apparition des puzzles. Vous pouvez également consulter les niveaux restants en visitant le sujet suivant Solution Codycross TELEVISEE Vous pouvez maintenant revenir au niveau en question et retrouver la suite des puzzles Solution Codycross Stations Touristiques Groupe 555 Grille 4. Si vous avez une remarque alors n’hésitez pas à laisser un commentaire. Si vous souhaiter retrouver le groupe de grilles que vous êtes entrain de résoudre alors vous pouvez cliquer sur le sujet mentionné plus haut pour retrouver la liste complète des définitions à trouver. Merci Kassidi Amateur des jeux d'escape, d'énigmes et de quizz. J'ai créé ce site pour y mettre les solutions des jeux que j'ai essayés. This div height required for enabling the sticky sidebar
23 août 2022 - MAJ 23/08/2022 1735 Thriller Une femme alpiniste, des hommes psychopathes, une méchante montagne, et une poursuite à la verticale c'était le programme de The Ledge, sorti de nulle part pour arriver en VOD ce 23 août. Toute personne normalement constituée et/ou très optimiste pouvait s'attendre à une petite série B, type Cliffhanger version survival. Mais abandonnez tout espoir The Ledge est une petite chose sans intérêt et sacrément nulle. la montagne salée Ça s'annoncait très bien un thriller type survival où une femme essaie d'échapper à un groupe de psychopathes, non pas en courant dans la forêt, mais en gravissant une montagne rocheuse sacrément dangereuse. Soit un doux petit programme de série B, confirmé par la présence du réalisateur Howard J. Ford, derrière les néo-DTV The Dead des zombies en Afrique et The Dead 2 des zombies en Inde, Never Let Go une mère qui tabasse tout le monde pour retrouver son bébé kidnappé, ou encore The Lockdown Hauntings un confinement avec des fantômes. Mais ça commence très mal. Dès la première minute, The Ledge ressemble à une parodie de publicité d'agence touristique, avec panoramas du massif rocheux des Dolomites, gros plans sur le matériel d'alpinisme et musique triomphante. C'est un parfait avertissement pour cette longue et mauvaise blague, qui compile à peu près tous les pires clichés. Personnages en carton triple épaisseur, flashbacks hilarants, dramaturgie de neuneu, et bien sûr mini budget pour maxi bullshit c'en serait presque délicieusement drôle si ça n'était pas aussi premier degré, et surtout étonnamment sage et fade, puisque The Ledge ferait passer Vertical Limit pour Mad Max Fury Road. S'accrocher à la miette de scénario vertical limité De Cliffhanger à Poursuite mortelle A Lonely Place to Die bien meilleur titre VO avec Melissa George, en passant par le français Vertige, un paquet de films a exploité la grandeur anxiogène des montagnes. Mais pour quelques sueurs froides et morts redoutables directement liés à la grimpette, il y a des tartines de cache-cache, bastons et autres tensions habituelles. La promesse d'une poursuite verticale était donc la grande la seule raison d'aller vers The Ledge, avec la curiosité de voir un dispositif de mise en scène exploiter et surtout assumer un tel pari. Howard J. Ford ment au moins autant et aussi mal que le gros fumier toxique qui porte une pancarte psycho dans le film, et veut absolument tuer l'héroïne. The Ledge n'a absolument rien d'une poursuite verticale, ou d'une poursuite tout court. Après une introduction fadasse à souhait, qui pose les enjeux grossiers et ridicules et personnages ridicules et grossiers comme des parpaings, il y a une petite scène où un abruti essaie de rattraper l'héroïne en escaladant. Spoiler comme c'est le début du film, il n'y arrive pas. Spoiler bis c'est le seul moment où The Ledge ressemble vaguement à ce qu'il devait être oui, l'affiche est une blague. Durée ressentie 127 heures La suite est un simple, pauvre et triste thriller statique, qui aurait aussi bien pu prendre la forme d'un sous-Panic Room. La gentille est bloquée sur une corniche, hors d'atteinte mais légèrement fébrile. Les méchants sont au-dessus, sur une plateforme, confortables mais légèrement impatients de la buter. La meute de psychopathes veut effacer toute trace de leurs folies, représentées par un bien beau caméscope. Reste alors une petite moitié de film, rythmée par des jets d'urine, un serpent et beaucoup, beaucoup de parlotte. Inutile de préciser que tout ça est filmé, monté et raconté comme un manche, et que The Ledge a finalement plus à voir avec un vieux téléfilm sur RTL9 qu'à une série B nerveuse découverte en festival. Dark Lara Croft psychopathe qui peut te battre Le seul motif de divertissement de The Ledge reste alors sa galerie de personnages, qui doit autant à Hélène et les garçons édition montagne qu'à un remake de Dexter version TF1. Le scénario du dénommé Tom Boyle est une suite ininterrompue de sketchs, qui grille en dix minutes absolument toutes les cartouches de la connerie tolérable. D'un duo de copines qui se lance dans un instant chatouille-fou rires comme dans une intro ratée de porno, à une démonstration de la masculinité toxique aussi subtile qu'un tweet de Jean-Marie Bigard "Toutes des putes !", c'est tout le petit manuel du mauvais scénariste qui se déplie à l'écran. Chaque idée, chaque intention, a la grâce d'une trace de pneu. Une fois "l'action" lancée, la nullité de The Ledge revient par vagues, avec des flashbacks que le tribunal de la Haye pourrait certainement considérer comme un crime contre l'humanité doté d'yeux. Chaque apparition du professeur d'escalade / ex-petit ami mort dans la montagne en la demandant en mariage en pleine ascension / levier émotionnel donner une motivation à l'héroïne, est un bijou de malaise. Tout y passe, des moments mignons en contre-jour dans la nature au regard-yeux-bleus-caméra, sans oublier la voix off digne d'un mauvais tuto de jeu vidéo "Utilise ton esprit, pas tes muscles". La Redoute, printemps-été 2023 Vous avez encore un doute sur la nullité de The Ledge ? Il y a une scène où un des personnages regarde son copain tombé en pleine escalade, qui hurle au sol avec la jambe explosée et une fracture ouverte. Et qui s'exclame "On dirait que sa jambe est salement amochée !". Seule utilité de ce navet il donne envie de revoir le très bon premier épisode de Masters of Horror, Incident On and Off a Mountain Road, réalisé par Don Coscarelli, et qui emploie la même structure une femme poursuivie par un tueur, en pleine nature, avec des flashbacks autour d'un petit ami-instructeur-tuto de survie. Sauf que c'était bien, et malin. The Ledge, disponible en VOD depuis le 23 août 2022 Résumé L'idée était amusante, et le film est drôlement nul. Incapable de tenir sa promesse de survival vertical, The Ledge jongle entre le comique involontaire et le thriller de bas étage. Circulez, y'a rien à voir. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous n'êtes pas d'accord avec nous ?Raison de plus pour vous abonner ! Je soutiens la liberté critique articles liés
Si au cinéma il arrive souvent que des réalisateurs apparaissent dans leurs films c’est un peu plus rare à la télé dans les séries. Rare, mais ça arrive, parce que ces gens ont soit beaucoup d’humour soit un besoin irrépressible de se mettre devant la caméra, ça arrive. On va en voir quelques exemples là tout de suite parce que je suis intimement persuadé que ça vous fera plaisir et beaucoup de bien, surtout en ce moment où tout fout le camp dans votre vie. 1. David Simon dans "The Wire" Génie de la série TV américaine, David Simon ne déconne pas quand il fait une apparition dans sa propre série. Vu qu’il est un ancien journaliste il fait un micro caméo dans The Wire en tant que journaliste qui tente d’interviewer Franck Sobodka. Même pas de texte, il est au milieu de la cohue mais il est là. Classe le mec. Encore une raison de mater The Wire. 2. David Chase dans "Les Sopranos" Forcément quand on est à la tête d’une série aussi prestigieuse que Les Sopranos on a envie de montrer sa jolie petite gueule dedans, c’est NORMAL. On peut donc apercevoir David Chase faire un petit coucou lors d’un passage où Paulie meilleur perso se rend en Italie. 3. Larry David dans "Seinfeld" L’un des deux créateurs de la célèbre série comique y fait une petite apparition parce qu’il est très cool. D’ailleurs dans sa propre série Curb your enthusiasm il y a carrément toute une saison où tout le cast de Seinfeld s’invite. On ne peut que vous conseiller de regarder Curb your enthusiasm, c’est vraiment, vraiment génial. 4. Ricky Gervais dans "The Office" US Après avoir créé la version anglaise de The Office, le génial Ricky Gervais devait obligatoirement faire une apparition dans la version américaine qu’il produisait, et c’est arrivé. Il y reprend son personnage de David Brent, l’alter ego de Michael Scott version anglaise et ça donne une petite scène qui fait plaisir. 5. Gene Roddenberry dans "Star Trek" Si vous aviez créé Star Trek vous seriez pété de thunes déjà, mais en plus vous auriez eu l’occasion d’apparaitre dans votre série. Cela dit Gene n’a fait qu’une petite voix dans le truc, donc c’était pas non plus une apparition de ouf mais il est comme ça, très discret. 6. William Dozier et Howie Horwitz dans "Batman" Si vous avez déjà vu un épisode de la très étrange série Batman vous avez probablement plus de cinquante ans parce que c’est super vieux comme truc. En tout cas les deux créateurs Howie Horwitz et William Dozier y ont fait une petite apparition pour s’amuser entre deux prises de drogues ces gens ne pouvaient pas être cleans pour produire ça. 7. Ronald Moore dans "Battlestar Galactica" On aperçoit le créateur de la série dans un tout petit passage où on le voit en train de lire un numéro de National Geographic. C’est un peu con de faire d’aussi grosses séries et de se limiter à une apparition aussi moisie, faut se faire rêver un peu plus Ronnie… 8. Matt Groening dans "Futurama" et les "Simpsons" Forcément le génial créateur des Simpsons apparait dans ses deux dessins animés à plusieurs reprises dans des scènes qui ne sont pas forcément à son avantage puisqu’il passe soit pour un mec super naïf ou un gros riche. Au moins il a de l’humour. Et sinon, vous êtes quel personnage des Simpsons vous ? 9. Dan Harmon dans "Community" Franchement il méritait de se faire plus plaisir dans sa propre série et d’apparaitre de meilleure manière tellement tout ce qui se passait dans l’université de Greendale était déjanté. Pourtant il n’apparait que sur un simple poster dans l’un des merveilleux épisodes sur le paintball. 10. Larry Charles dans "Seinfeld" Il est le deuxième créateur de Seinfeld et il est vraiment beaucoup plus discret que Larry David mais cela ne l’a pas empêché d’apparaitre dans la série également au cours d’une unique petite scène qui se déroule dans les chiottes d’un avion. Un homme simple.
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